auteur

Théophile Gautier, nouvelliste

Le 27/07/2024

Célèbre pour son Capitaine Fracasse, Gautier a écrit une trentaine de contes et nouvelles, qui méritent de s’y attarder.

Écrire dans l’exotisme social

Le 25/07/2024

Vous hésitez à parler de votre environnement, par retenue, discrétion ou pudeur ? L’exotisme social était déjà pratiqué au XIXe siècle.

Dans quel genre écrire ?

Le 13/07/2024

Votre plume est entraînée, votre sujet est défini. Mais romance ou polar ? Témoignage ou philosophie ?

Écrire un livre avec un sujet personnel

Le 09/07/2024

Après l’article du 5 juillet, votre décision est prise : votre été sera littéraire ou pas. Mais quel en sera le sujet ?

La célèbre question normande mise en nouvelles

Le 07/07/2024

Les éditions du Petit Pavé ont l’art d’attirer l’attention avec les Nouvelles noires sauce normande, de Francis Carpentier.

Le Grand prix de l’imaginaire à la nouvelliste Esmée Dubois

Le 03/07/2024

Attribué depuis 1974, le Grand Prix de l’Imaginaire est le prix francophone le plus prestigieux pour les littératures de l’imaginaire.

Les prix académiques

Le 24/06/2024

L’Académie française a fixé son palmarès pour l’année 2024, l’occasion de porter un œil sur la place donnée aux nouvelles.

Jean Giraudoux, des nouvelles pétillantes d’humour

Le 16/06/2024

Jean Giraudoux est associé au théâtre et à la diplomatie, ses nouvelles moins connues en donnent un visage bien différent.

Les writing prompts chassent la page blanche

Le 06/06/2024

Il existe un truc génial pour calmer les pannes d’inspiration ; une petite phrase appelée à devenir la grande idée d’un récit.

Des adjectifs de toutes les couleurs

Le 31/05/2024

La question revient plus souvent que les beaux jours : quand les oranges sont-elles orange et les roses sont-elles vraiment roses ?

Vivre à feu doux, un bonheur vif

Le 29/05/2024

Gilles Archambault publie aux éditions du Boréal un énième recueil de nouvelles : Vivre à feu doux, le titre seul incite à la lecture.

Trop d’idées dans la tête

Le 15/05/2024

De l’invention à la saturation, il n’y a qu’un pas. Mène-t-il au découragement ou au renoncement ? Est-il nécessaire et bénéfique ?